top of page

INTERVENANTS

Photo 12 03 2025.JPG

AURELIEN AMIOT​

Le Pr Aurélien AMIOT est Gastroentérologue au sein du CHU Bicêtre. Au-delà du CHU Bicêtre, il collabore avec le consortium Paris IBD-U au sein des hôpitaux de l’AP-HP et au sein du GETAID depuis 2011.

​

Q & R - 1. Etrasimod, comment l’utiliser ?

photo.jpg

GUILLAUME BOUGUEN​

Initié à la gastroentérologie à Brest, le Dr Guillaume Bouguen a poursuivi son cursus universitaire sur la thématique des MICI au CHU de Rennes et a développé l’expertise du centre pour la prise en charge des patients.

​​

Atelier 1 :  Qu’utiliser en 2e ligne dans la maladie de Crohn /3e ligne dans la RCH ?

Q & R - 6. Quelle molécule privilégier en cas d’échec d’un anti TNF dans une LAP ?

Dr Michael Collins(2).jpg

MICHAEL COLLINS​

Le Dr Michael Collins est praticien hospitalier au CHU de Nantes depuis 2021, référent pour les maladies inflammatoires de l’intestin et pour les colites induites par l’immunothérapie.

​

Q & R - 11. Immunothérapie et MICI 

Dr.Jean_Frederic_Colombel_76661R(1).jpg

JEAN-FREDERIC COLOMEL ​

Jean-Frédéric Colombel, MD, est le directeur du Centre des MICI (IBD Center) à l’Icahn School of Medicine du Mount Sinai à New York. Depuis 1984, ses recherches sont axées sur les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), et il a contribué à d’importants progrès dans la compréhension de leur physiopathologie ainsi que dans la prise en charge de ces maladies.

​

Conférence inaugurale -Phase pré-clinique des MICI : agir avant la maladie 

1571988110Capture-d-Aoe-Acran-2019-10-25-a-A-09.13.26.png

MATHURIN FLAMANT​​

Mathurin Flamant, gastroenterologue à Nantes à la Clinique Jules Verne en secteur libéral avec une activité clinique et de recherche majoritairement en lien avec les MICI. Praticien attaché au CHU de Nantes.  ​

​

Controverse : Y a-t-il encore une place pour l’ustekinumab à l’heure des anti L23?

GILLETTA Cyrielle.png

CYRIELLE GILLETTA​

Praticien hospitalier au CHU de Toulouse depuis 11/2015, Cyrielle Gilletta est spécialisée dans la prise en charge des Maladies Inflammatoires Chroniques Intestinales.

​

Controverse : Y a-t-il encore une place pour l’ustekinumab à l’heure des anti L23?

Photo profil 3.jpg

GUILLAUME GIRARD ​

Docteur Guillaume GIRARD, gynécologue-obstétricien, praticien hospitalier à la maternité de l’hôpital Armand-Trousseau (AP-HP) à Paris. Expert judiciaire près la cour d’appel de Paris.

​

Atelier 2 -  Grossesse et MICI : que faire en 2026 ?

Julien_Kirchgesner_2024_resized.jpg

JULIEN KIRCHGESNER​

Le Professeur Julien Kirchgesner est gastroentérologue et à l’hôpital Saint-Antoine à Paris et dirige une équipe de recherche en pharmacoépidémiologie à Sorbonne Université.

​

Q & R -  4. Qui dois-je vacciner contre le zona ?

LAHARIE David_2024_1.jpg

DAVID LAHARIE​

Professeur en gastroentérologie au CHU de Bordeaux, spécialisé dans le domaine des MICI, je suis actuellement président du GETAID après avoir été membre puis président du conseil scientifique de l’AFA et secrétaire général de la SNFGE.

​

Q & R -  2. Substitution des biosimilaires en pratique 

Carol SOARES MARTINS.png

CAROLE MARTINS​

C’est en 2015 que j’ai pris le poste d’IDEC MICI. French Nurse Representative à ECCO en 2018, j’ai créé l’association MICIDEC en 2020. Diplômée en 2023 du Master IPA, je suis IPA spécialisée dans les MICI.

​

Q & R -  9. Rôle de l’IPA dans la prise du patient

Xavier Roblin.png

XAVIER ROBLIN

Responsable de l’unité de prise en charge des MICI et professeur associé au CHU de Saint Etienne,  avec une unité de recherche clinique  INSERM (CIC) et une unité de recherche fondamentale (unité INSERM CIRI).

​​​​​

Atelier - Grossesse et MICI : que faire en 2026 ?

Q & R - 8. Que dire à nos patients avec MICI sur la fertilité ? 

photo LV mars 25.jpeg

LUCINE VUITTON​

​Professeur de Gastroentérologie au CHU de Besançon, spécialiste des MICI et de l'endoscopie digestive; responsable de l’unité de prise en charge et de recherche MICI au CHU de Besançon, ancienne secrétaire et actuellement trésorière du GETAID.​

​

Q & R - 3. Doit-on utiliser un anti L23 après échec de l’ustekunimab ?

bottom of page